Petite pagode de l'oie sauvage

Emplacement ：72 Youyi Xi Rue, ville de Xi'an, province du Shannxi, Chine

Raisons de visiter ：l'une des deux pagodes bouddhistes importantes de Xi'an

Nos notes ★★★★★

Heures d'ouverture ：09h00 - 17h00

TCT dire

La petite pagode de l'oie sauvage est également un bâtiment bouddhiste. La petite pagode de l'oie sauvage est une partie importante du temple Jianfu（荐福寺）.

La relation entre la Petite Pagode de l'Oie sauvage et la Route de la Soie

La Petite Pagode de l'Oie sauvage est un témoignage vivant et un héritage précieux de l'existence et de la prospérité de la Route de la Soie.

Personnage principal: Yijing(en chinois: 义净）

Yijing est l'un des quatre grands traducteurs du bouddhisme chinois aussi célèbre que Faxian et Xuanzang (moine Tang). Mais contrairement à Xuanzang qui s'est rendu en Inde par terre (la route désertique de la Route de la Soie), Yijing a choisi la « Route maritime de la Soie ».

En 671 après JC, Yijing a pris un bateau de Guangzhou, est arrivé à Sumatra, en Indonésie, par mer, puis s'est rendu vers le nord, en Inde. Il a étudié et appris des écritures bouddhistes au temple de Nalanda et ailleurs pendant plus de 20 ans, et a ramené un grand nombre de versions sanscrites des écritures bouddhistes.

En 695 après JC, Yijing est retourné à Luoyang. Plus tard, il a été pris au sérieux par l'empereur et a été invité au temple Jianfu à Chang'an pour présider la traduction des écritures. La petite pagode de l'oie sauvage est la pagode du temple Jianfu.

Le plus extraordinaire avec la Petite Pagode de l’Oie Sauvage, c’est qu’elle est comme un « culbuto » qui, après avoir surmonté de multiples séismes, est toujours debout, aussi élégante qu’à l’origine.

Les archives historiques relatent que lors d’un violent tremblement de terre sous la dynastie des Ming, la pagode fut fendue de haut en bas par une fissure large de plus de trente centimètres, comme si elle avait été fendue par la foudre. Le spectacle était saisissant.

Alors, comment se fait-il que nous la voyions aujourd’hui si bien préservée ? Le secret réside dans le génie visionnaire des artisans de la dynastie Tang.

Imaginez sa structure comme une maquette ingénieuse : sur une énorme gelée ferme mais élastique est plantée une baguette bien droite.

La « baguette », c’est le corps de la pagode que nous voyons, fait de briques et de pierres, un matériau relativement rigide.

La « gelée » invisible en dessous est la clé ! Il s’agit en réalité d’énormes fondations semi-circulaires en terre compactée, construites avec soin par les anciens. Enterrée profondément, cette base a la forme d’un bol renversé.

Voici comment cette structure a révélé sa magie lors du séisme :

Dissipation des forces : Lorsque les ondes sismiques ont secoué la tour (la « baguette »), la fondation en terre (la « gelée »), flexible, n’a pas résisté de manière rigide. Comme en tai-chi, elle a absorbé et réparti l’énergie destructrice en se déformant légèrement.

Le miracle de la « Guérison divine » : Le plus merveilleux est survenu après la secousse. Une fois la force dissipée, la fondation déformée a exercé une force de rappel puissante pour retrouver son état d’équilibre. Telle une main invisible, elle a lentement « repoussé » les deux parties de la pagode pour qu’elles se rejoignent parfaitement ! C’est ce que les anciens ont appelé la « Guérison divine » — non pas un mythe, mais un authentique miracle de mécanique architecturale.

Ainsi, l’intégrité de la Pagode ne tient pas à une absence de blessures, mais à la souplesse de ses fondations, son « cœur » robuste. Elle incarne la philosophie chinoise antique qui prône « vaincre la force par la douceur ». C’est pourquoi, après mille ans d’intempéries et de séismes, elle se dresse encore avec grâce devant nous, racontant la sagesse et la gloire de l’âge d’or des Tang.

*La petite pagode de l'oie sauvage ne peut pas gravir parce qu'elle est fragile.

Circuit la Route de la Soie en Chine pendant 19 jours

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Pékin, Xi'an, Lanzhou, Xiahe, Wuwei, Zhangye, Jiayuguan Pass, Dunhuang, Turpan, Urumqi, Kashgar, Shanghai

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La petite pagode de l'oie sauvage, ou petite pagode de l'oie sauvage, est située à l'intérieur du temple de Jianfu, dans le sud de la ville de Xi'an. Avec la Grande pagode de l'oie sauvage, ces deux sites sont les monuments importants qui ont été conservés de la période ancienne de Chang'an.

La petite pagode de l'oie sauvage est l'un des temples de Bouddha de la dynastie Tang les mieux conservés. En tant qu'un des sites historiques célèbres de Xi'an, la petite pagode de l'oie sauvage est réputée pour être un patrimoine architectural bouddhiste élaboré et précieux de la dynastie Tang.

Histoire de la petite pagode Gosse sauvage

Construit d'abord entre 707 et 709 (dynastie Tang), il a été construit à l'origine pour conserver les scripts bouddhistes portés par le grand moine Yi Jing de la région indienne. À la fin de la dynastie Tang, le temple de Jianfu a été détruit alors que seule cette pagode était bien conservée.

Sans rénovations et reconstructions centenaires, la petite pagode de l'oie sauvage a conservé sa structure d'origine jusqu'à présent. Et pendant les années 1970, cet endroit était possédé par l'armée, jusqu'en 1989, il était totalement libre du contrôle militaire. Et maintenant, cette pagode fait partie du musée de Xi'an qui est ouvert au public pour faire du tourisme.

Structure de la petite pagode de l'oie sauvage

La pagode était de 45 m (147 pi) jusqu'au tremblement de terre de 1556 Shaanxi. Le tremblement de terre a secoué la pagode et l'a endommagée de sorte qu'elle se trouve maintenant à une hauteur de 43 m (141 pi) avec quinze niveaux. La pagode a un cadre en brique construit autour d'un intérieur creux, et sa base et sa forme carrées reflètent le style de construction d'autres pagodes de l'époque.

Cloche magique dans la petite pagode de l'oie sauvage

La grosse cloche de fer conservée dans le temple de Jianu a une histoire de plus de 800 ans. C'était à l'origine la collection d'un ancien temple puis perdu. Pendant la dynastie Qing, l'empereur Kangxi a récupéré cette cloche et l'a transférée à la petite pagode de l'oie sauvage. Tous les matins de cette période, la cloche sonnait. Et la voix pourrait se répandre largement et provoquer l'endroit dans une ambiance douce. La petite pagode de l'oie sauvage et l'ancienne cloche faisaient partie des paysages des «huit scènes du centre Shaanxi».